Texte de Afont
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Texte de Afont
De quel imaginaire serais-je le reflet ?
De ce bureau
De mes bureaux
Mini monde
Agencés
De poupées
De coquillages
De graines de lavande
Mon bureau
Résonne comme une piste, Orly !
Le bruit des moteurs
Les caravelles s’envolent
Au dessous
Dansent les chevaux fous
Des apaches
Le sable rouge des canyons
Au dessous
Mousse l’océan
Habité de ses abimes
Et de l’inconsolable Nemo
Ou de Noé guettant la première des dernières terres
Les oies dans les nuages traversant des champs magnétiques
Dessus
Les constellations
Le tapis volant de la voie lactée
Sans aucun doute je suis de toutes ces images
Une boite à puzzle d’un coffre d’enfance perdu dans le grenier
Ô l’enfance perdue
Ô les greniers
Le soleil caresse ma paresse
Juste à coté un chat dort
J’ai l’âge tant de l’enfance que de l’adulte
Déjà je peux voir ma vieillesse
Déjà je suis mortelle
Et mes démons
Tirent la manivelle
Je suis de toutes les charades
De tous les petits trains
De toutes les fautes d’orthographe
De tous les mots d’absences
Et surtout
De toutes les évasions
Chute !
On ne réveille pas
Une rêveuse qui rêve
Comme la chenille file son cocon
Son monde
Trop vaste
Trop fragile
S’effrite, se brise
Ultime échec
Sous le soleil des jours
De ce bureau
De mes bureaux
Mini monde
Agencés
De poupées
De coquillages
De graines de lavande
Mon bureau
Résonne comme une piste, Orly !
Le bruit des moteurs
Les caravelles s’envolent
Au dessous
Dansent les chevaux fous
Des apaches
Le sable rouge des canyons
Au dessous
Mousse l’océan
Habité de ses abimes
Et de l’inconsolable Nemo
Ou de Noé guettant la première des dernières terres
Les oies dans les nuages traversant des champs magnétiques
Dessus
Les constellations
Le tapis volant de la voie lactée
Sans aucun doute je suis de toutes ces images
Une boite à puzzle d’un coffre d’enfance perdu dans le grenier
Ô l’enfance perdue
Ô les greniers
Le soleil caresse ma paresse
Juste à coté un chat dort
J’ai l’âge tant de l’enfance que de l’adulte
Déjà je peux voir ma vieillesse
Déjà je suis mortelle
Et mes démons
Tirent la manivelle
Je suis de toutes les charades
De tous les petits trains
De toutes les fautes d’orthographe
De tous les mots d’absences
Et surtout
De toutes les évasions
Chute !
On ne réveille pas
Une rêveuse qui rêve
Comme la chenille file son cocon
Son monde
Trop vaste
Trop fragile
S’effrite, se brise
Ultime échec
Sous le soleil des jours
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Bonjour Invité, je suis heureuse de te compter parmi les Kaléïdoplumiens

Admi......ratrice de vos mots !!!!!.
Admin- Admin
-
Humeur : Concentrée
Re: Texte de Afont
Comme expliqué sur mon mail. Je te demande de m’excuser pour le temps que j’ai mis à poster ton texte qui est parti directement dans mes spams.
Je ne les supprime qu’une fois de temps en temps et heureusement ( ce que je fais rarement d’ailleurs) j’ai vérifié la liste avant de tout supprimé et je suis tombé sur ton mail envoyé dimanche dernier.
L’erreur est réparé, les portes de Kaleidoplumes te sont grandes ouvertes et je te souhaite la bienvenue.
À bientôt de te lire ici ou là.
Je ne les supprime qu’une fois de temps en temps et heureusement ( ce que je fais rarement d’ailleurs) j’ai vérifié la liste avant de tout supprimé et je suis tombé sur ton mail envoyé dimanche dernier.
L’erreur est réparé, les portes de Kaleidoplumes te sont grandes ouvertes et je te souhaite la bienvenue.
À bientôt de te lire ici ou là.

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Bonjour Invité, je suis heureuse de te compter parmi les Kaléïdoplumiens

Admi......ratrice de vos mots !!!!!.
Admin- Admin
-
Humeur : Concentrée
Re: Texte de Afont
Tout ces beaux mots, bien ajustés ici, me font penser qu'il y a de quoi se réjouir de te lire!
Bienvenue à toi!
Bienvenue à toi!
Zephyrine- Modératrice
-
Humeur : Parfois bizarre
Re: Texte de Afont
Bienvenue à toi. Nous allons avoir le droit à des textes pleins de poésie et d'imagination je pense.
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Martine27
Martine27- Kaléïd'habitué
-
Humeur : Carpe diem ou Souris quand même
Re: Texte de Afont
Bienvenue sur Kaléïdoplumes !
Et bravo pour ce texte d'entrée si poétique.
C'est prometteur !
Et bravo pour ce texte d'entrée si poétique.
C'est prometteur !
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" Partir, c'est mourir un peu. Ecrire, c'est vivre davantage. "
André Comte-Sponville
ICI : Le Blog d'AlainX
alainx- Kaléïd'habitué
-
Humeur : ça va ! et vous ?
Re: Texte de Afont
Bienvenue sur Kaléïdoplumes, Afont !

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Ne méprisez la sensibilité de personne. La sensibilité de chacun, c'est son génie.
(Charles Baudelaire)
FrançoiseB- Kaléïd'habitué
-
Humeur : Positive
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