B. Rituel des soirs d'hiver.

Tout d'abord déposer sur la grille une feuille de papier froissé.
Empiler par-dessus des brindilles de bois sec.
Ajouter quelques branchettes du chêne retaillé cet automne.
Craquer une allumette, embraser le papier.
Les flammes s'étendent alors aux branchages emmêlés.
Alors seulement, ajouter une bûche, vestige du marronnier mort l'an passé.

S'asseoir et apprécier la chaleur qui détend, pousse à la confidence.
Alimenter peu à peu le feu de quelques morceaux du vieux tronc fendu.
Pendant de longues heures contempler le spectacle des flammes vives et légères.
Rêver au coin du feu sans jamais se lasser.



100 mots

Un bien joli moment de détente et de bien être que je t'envie.
A l'époque  où le feu de cheminée était une nécessité, mon grand-père qui était chargé de l'opération, avait coutume de dire que pour réussir un beau feu, il fallait être ou fou ou amoureux. Je suppose que tu te situes  dans la 2° catégorie...

Un rituel que j'aime beaucoup.
Les premières fois que j'ai allumé un feu de bois, je n'étais pas très douée. Mais depuis je me suis bien améliorée, et mon feu démarre à chaque fois.

Nerwen a écrit:
A l'époque  où le feu de cheminée était une nécessité, mon grand-père qui était chargé de l'opération, avait coutume de dire que pour réussir un beau feu, il fallait être ou fou ou amoureux. :

Jolie citation d un bien beau souvenir né sous les mots lus 👍🏻

Merci pour la recette ! Pour ma part je laisse faire celui qui "sait" et ça m'arrange bien !

Moi aussi, Zéphyrine, j'aime passer du temps à contempler les flammes du poêle, et à ne penser à rien...