A - « Djoni », poème du fondement

Parce que vous m’avez fait rire et sourire toute la journée , alors que ce n’était Pas gagné : MERCI

Et en clin d’oeil à Amanda qui en ras les synonymes de l’ami Carème  (désolée celle la c’est le cadeau Bonux 😇 surtout en période de carnaval )
Pour essayer d’atteindre la cheville de notre vénérable poétesse Zéphyrine
(un hommage national s’est glissé  dans le titre   ==>tousse - tousse - et sort 🤣😂)
Pour AlainX notre sage aux yeux bio ioniques qui verra au premier coup d’oeil Que les rimes sont pauvres et que «  vous savez qui » doit faire des moulinets outre-tombe
Pour les quelques gamins de plus de 16 ans , ici , qui auront eu la permission parentale pour me lire
Parce que celui-ci je suis prête à parier qu’aucun de vous ne l’a récité à une instit 🤔


Voici ma tentative de synonymisation d’un poème aussi connu que controversé en son temps .
Les mœurs évoluants on finira par le trouver dans les emballages de carambar ... peut être

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Sombre et plissé tel un nombril mauve
Il expire, sagement blotti dans la liqueur
Suintant toujours du coït, depuis la déclive
De la pâle lune, vers le centre du cratère

Des filets comme des gouttes de nacre perlées
Suinterent par deçà le vil souffle les culbutant
Via de chétifs grumeaux d’argile rougissant
Avant de s’enfoncer où le versant les invitait

mon fanstasme s'acoquina maintes fois à sa corolle
mon esprit, de l’union physique cupide
le transforma en sauvage gouttière et logis aquacole

C’est le pruneau fier et la baguette caressante
C’est le cylindre d’où déboule la divine amande
Terre promise au tréfonds de l'humide enceinte

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Et voici enfin pour lui rendre justice le fameux poème  de l’ami Arthur , intitulé

L’idole, sonnet du trou du cul

Obscur et froncé comme un oeillet violet
Il respire, humblement tapi parmi la mousse
Humide encor d’amour qui suit la fuite douce
Des Fesses blanches jusqu’au coeur de son ourlet.

Des filaments pareils à des larmes de lait
Ont pleuré, sous le vent cruel qui les repousse,
À travers de petits caillots de marne rousse
Pour s’aller perdre où la pente les appelait.

Mon Rêve s’aboucha souvent à sa ventouse ;
Mon âme, du coït matériel jalouse,
En fit son larmier fauve et son nid de sanglots.

C’est l’olive pâmée, et la flûte caline,
C’est le tube où descend la céleste praline :
Chanaan féminin dans les moiteurs enclos !

Ma parole, c'est Pâques en Carême
hommage à la rondelle
oser rêver d'elle.
Maurice sue comme haridelle

Mais c'est très  osé  tout cela!      
J'espère  ne jamais retrouver ces vers dans les emballages de carambars.

Pardon Maurice, ferme les yeux et bouche toi les oreilles ,  pense à  nous qui ne parlons que de chats...

Il fallait le faire, Eva, et tu l'as fait ! Bravo !

Il fallait oser le faire, oser l'écrire avec ces difficultés, et c'est diablement bien réussi.

Merci
C’est surtout que le bougre est déjà très doué et avait utilisé des images très « léchées » 😉
Alors essayer de trouver des synonymes tout en gardant le sens et plus ou moins les rimes c’était Vraiment coton 😁

ENFIN ! Enfin quelqu'un qui a osé ! Ah, c'est autre chose que Maurice C. de la poésie, de la vraie même si crue et ardente !
MERCI Eva, tu es géniale, tu as su trouvé les mots qui frappent, je t'inscris d'office dans mon atelier d'écriture érotique ( fermé depuis l'an dernier par une Admin intransigeante) que je ne désespère pas de réouvrir cette année ! Tu es une bonne recrue !

Ouh fait chaud tout à coup ou c'est une idée ?