A. Pas de mots à maux.
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automne
Martine27
Amanda
Zephyrine
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A. Pas de mots à maux.
Sur la route au fil des notes et des maux croisés...
Ainsi va la vie, elle est comme une longue route, elle n'est certainement pas un long fleuve tranquille.
Depuis le temps que je marche, je constate qu'au fur et à mesure des années, j'ai bien changé!
J'avais pris le départ chaussée de bottines inusables, munie d'un tas d'accessoires et de principes : il ne fallait manquer de rien!
J'avançais en chantant, les notes égayaient mes journées, mes principes rassuraient mes pas.
Insouciante, j'ignorais les maux, je me moquais des mots : les "prends garde", "ne te précipite pas", sois raisonnable"! je ne les écoutais pas. Les conseils, très peu pour moi! J'étais confiante, je fonçais.
Peu à peu, il a bien fallu que je me débarrasse de tout le superflu qui lestait ma vie car les maux se sont faits sentir : ils arrivent souvent quand on ne s'y attend pas...
Alors, j'ai décidé de ne plus me soucier de ce qui n'arriverait peut-être jamais, d'ignorer les défaitistes, de continuer à chanter les notes tout au long du chemin, mais j'ai changé les paroles.
J'ai laissé les pensées négatives sur le bord de la route, elles étaient comme ces bottines trop lourdes qui m'empêchaient d'avancer. J'ai tenté de larguer tout ce qui me pesait m'attachant à l'essentiel et je suis repartie plus légère, bien plus légère.
Le temps passe, le chemin est long et j'avance encore et toujours. Je n'écoute plus que les mots qui apaisent les maux.
Où vais-je? Quand arriverais-je? Je n'en sais rien.
Je veux vivre ma vie, ne pas m'excuser de devenir plus lente, un peu maladroite, souvent distraite, car cela reviendrait à dire : " Je suis désolée d'être moi même" et ça je n'accepterai jamais!
Ainsi va la vie, elle est comme une longue route, elle n'est certainement pas un long fleuve tranquille.
Depuis le temps que je marche, je constate qu'au fur et à mesure des années, j'ai bien changé!
J'avais pris le départ chaussée de bottines inusables, munie d'un tas d'accessoires et de principes : il ne fallait manquer de rien!
J'avançais en chantant, les notes égayaient mes journées, mes principes rassuraient mes pas.
Insouciante, j'ignorais les maux, je me moquais des mots : les "prends garde", "ne te précipite pas", sois raisonnable"! je ne les écoutais pas. Les conseils, très peu pour moi! J'étais confiante, je fonçais.
Peu à peu, il a bien fallu que je me débarrasse de tout le superflu qui lestait ma vie car les maux se sont faits sentir : ils arrivent souvent quand on ne s'y attend pas...
Alors, j'ai décidé de ne plus me soucier de ce qui n'arriverait peut-être jamais, d'ignorer les défaitistes, de continuer à chanter les notes tout au long du chemin, mais j'ai changé les paroles.
J'ai laissé les pensées négatives sur le bord de la route, elles étaient comme ces bottines trop lourdes qui m'empêchaient d'avancer. J'ai tenté de larguer tout ce qui me pesait m'attachant à l'essentiel et je suis repartie plus légère, bien plus légère.
Le temps passe, le chemin est long et j'avance encore et toujours. Je n'écoute plus que les mots qui apaisent les maux.
Où vais-je? Quand arriverais-je? Je n'en sais rien.
Je veux vivre ma vie, ne pas m'excuser de devenir plus lente, un peu maladroite, souvent distraite, car cela reviendrait à dire : " Je suis désolée d'être moi même" et ça je n'accepterai jamais!
Zephyrine- Humeur : Parfois bizarre
Re: A. Pas de mots à maux.
Reste toi-même, tu es très bien comme tu es !
Amanda- Humeur : positivement drôle
Re: A. Pas de mots à maux.
La sagesse finit toujours par nous rejoindre heureusement.
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Martine27
Martine27- Humeur : Carpe diem ou Souris quand même
RE A : Pas de mots à maux
Les maux peuvent être très douloureux mais sachons trouver les mots pour les atténuer ...
automne- Humeur : égale
Re: A. Pas de mots à maux.
Des propos de sagesse et d'expérience. Peu à peu se déleste au profit de l'essentiel.
Et puis arrive maintenant où on peut faire l'éloge de la lenteur, surtout quand on observe celles et ceux qui courent vers leur perte.
Merci.
Et puis arrive maintenant où on peut faire l'éloge de la lenteur, surtout quand on observe celles et ceux qui courent vers leur perte.
Merci.
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"Écrire, c'est brûler vif, mais aussi renaître de ses cendres. "
Blaise Cendrars
ICI : Le Blog d'AlainX
alainx- Humeur : ça va ! et vous ?
Re: A. Pas de mots à maux.
J'ai beaucoup aimé ce texte plein d'intelligence et de paix
Charlotte- Humeur : tout et rien
Re: A. Pas de mots à maux.
Voyage à travers le temps d'une vie, avec le passage de l'avoir à l'être, c'est un texte très bien construit et qui fait écho en moi aussi. Merci
Daboum- Humeur : jusqu'ici, ça va
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