B. Ouille!

J’use et j’abuse de l'onomatopée “ouille!” qui exprime la douleur, l’étonnement, la surprise…
Je me permets parfois de la doubler en “ouille, ouille!” voire de la tripler en “ouille, ouille ouille!”.

Exemples :

-Ouille! Cette andouille a raté la cuisson des nouilles!
-Ouille, ouille! Tu en fais une drôle de bouille!
-Ouille, ouille, ouille! Elle est encore partie en vadrouille!
-Ouille! J’ai peur qu’il me zigouille…
-Ouille, ouille! Arrête de me faire des chatouilles!
-Ouille, ouille, ouille! Plus de tomates , je vais louper la ratatouille.

Ouille! j’ai la trouille d’avoir raté cette bafouille!


100 mots.

En tout cas, tu n'es pas restée bredouille devant cette consigne !

Je le voulais aussi ce " ouille", mais je te le laisse volontiers, tellement bien traité !
Je te conseille de lire Jean Teulé ( paix à ses cendres) " Héloïse, ouille" tu sais pourquoi !

Ouille, ouille, c'est pénible quand on croise des case-couilles !