B. Zizanie

Son beau-père l’a surnommée ainsi.
Pas bien méchant, parfois même il l’appelait Zizou.
Pas commode la belle-fille.
Jupe trop courte, langue bien pendue, elle n’entrait pas dans le moule de la sacro-sainte famille.
En plus, elle fumait !
Refusait le déjeuner familial du dimanche midi, sacrilège !
Lors des fêtes et des anniversaires, elle se permettait de le contredire, d’émettre des avis de « gauche »
Mais quand il apprit qu’elle quittait le fils chéri, il mena une véhémente bataille pour qu’elle reste !
Avec des moyens pas très catholiques.
« Personne ne quitte personne dans la famille »
Défi relevé !
Adieu beau-Papa !

100 mots

Bravo à cette jeune femme qui a osé contrer ce patriarche autoritaire ; c'est une "femme libérée "

Fini le temps où la belle-fille rentrait dans le "moule" !!

Elle a bien raison, elle a mon soutien.