Ah ! Les bonnes vacances ( 1)
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Ah ! Les bonnes vacances ( 1)
C'est parti ! Les valises sont bouclées, le chat squatte chez vos beaux-parents, vous avez éteint le chauffage, mis l'alarme si vous en avez une...
C'est parti pour les vacances de Pâques !
Direction l'aéroport où vous vous garez dans le parking le plus éloigné qui soit, vu que ça coûte une fortune si on choisit celui qui se trouve juste à côté de la zone des départs.
Depuis les attentats, ils ont été obligés de tout changer et accéder à l'entrée des départs relève du parcours du combattant.
Plus de « kiss and drive » vous oubliez les bisous à celui ou celle qui vous déposait dans le temps juste devant la porte !
Plus de taxi qui a le droit de s'y arrêter non plus sauf s'il possède un permis spécial qui est rarement accordé sauf si vous vous appelez Macron ou Merkel, mais ceci est une autre histoire.
Vous êtes donc obligés de marcher d'un bon pas s'il pleut ou neige sans toit de protection, ça n'est pas prévu dans les travaux toujours en cours.
Si pas d'intempéries ( chose rare en Belgique) vous arriverez épuisés mais secs en traînant derrière vous valises et enfants qui traînent eux-même des mini-valises dont les roulettes mal huilées grincent et partent de travers.
Ouf ! Vous voilà dans le hall de départ, bondé. Car oui, vous n'êtes pas les seuls à vouloir partir au soleil !
Première file : l'enregistrement des bagages. On pourrait croire que les couloirs qui mènent aux comptoirs réglemente l'attente. Oh, que non, les tricheurs sont nombreux et ça, ça vous énerve déjà.
Deuxième file : la douane.
C'est là qu'un employé pas très tendre vous annonce que les bouteilles d'eau, il va falloir les boire avant de passer. Ou les jeter.
Vous les buvez, appréhendant déjà le moment où vous devrez utiliser les toilettes de l'avion.
La file de contrôle est interminable, aussi longue que celle des magasins d'Etat de feu l'URSS.
Enfin c'est votre tour .
On pose tout sur le tapis roulant, on enlève les chaussures, la montre, les bijoux, la ceinture, le dentier.
Oui Mamie garde sa prothèse de hanche, quelle bête question !
Alléluia, vous êtes passés !
A vous le soleil.
Décollage immédiat.
Immédiat ? Pas sûr, votre appareil est quinzième sur la piste de décollage.
Dans l'avion plein à craquer règne une chaleur torride, histoire que vous vous puissiez vous habituer pour l'arrivée.
Un bébé hurle, un autre lui répond.
Le pilote parle dans le micro mais vous ne comprenez rien.
Les hôtesses font leur démo de gilets jaunes mais personne ne regarde, la plupart sont plongés dans la liste des exquises choses à manger, proposées à un prix exorbitant que vous payerez bien sûr, par crainte de mourir de faim.
Si aucun enfant n'est malade, si le décollage se passe bien et s'il ne pleut pas à l'atterrissage, alors, profitez : Bonnes vacances !
C'est parti pour les vacances de Pâques !
Direction l'aéroport où vous vous garez dans le parking le plus éloigné qui soit, vu que ça coûte une fortune si on choisit celui qui se trouve juste à côté de la zone des départs.
Depuis les attentats, ils ont été obligés de tout changer et accéder à l'entrée des départs relève du parcours du combattant.
Plus de « kiss and drive » vous oubliez les bisous à celui ou celle qui vous déposait dans le temps juste devant la porte !
Plus de taxi qui a le droit de s'y arrêter non plus sauf s'il possède un permis spécial qui est rarement accordé sauf si vous vous appelez Macron ou Merkel, mais ceci est une autre histoire.
Vous êtes donc obligés de marcher d'un bon pas s'il pleut ou neige sans toit de protection, ça n'est pas prévu dans les travaux toujours en cours.
Si pas d'intempéries ( chose rare en Belgique) vous arriverez épuisés mais secs en traînant derrière vous valises et enfants qui traînent eux-même des mini-valises dont les roulettes mal huilées grincent et partent de travers.
Ouf ! Vous voilà dans le hall de départ, bondé. Car oui, vous n'êtes pas les seuls à vouloir partir au soleil !
Première file : l'enregistrement des bagages. On pourrait croire que les couloirs qui mènent aux comptoirs réglemente l'attente. Oh, que non, les tricheurs sont nombreux et ça, ça vous énerve déjà.
Deuxième file : la douane.
C'est là qu'un employé pas très tendre vous annonce que les bouteilles d'eau, il va falloir les boire avant de passer. Ou les jeter.
Vous les buvez, appréhendant déjà le moment où vous devrez utiliser les toilettes de l'avion.
La file de contrôle est interminable, aussi longue que celle des magasins d'Etat de feu l'URSS.
Enfin c'est votre tour .
On pose tout sur le tapis roulant, on enlève les chaussures, la montre, les bijoux, la ceinture, le dentier.
Oui Mamie garde sa prothèse de hanche, quelle bête question !
Alléluia, vous êtes passés !
A vous le soleil.
Décollage immédiat.
Immédiat ? Pas sûr, votre appareil est quinzième sur la piste de décollage.
Dans l'avion plein à craquer règne une chaleur torride, histoire que vous vous puissiez vous habituer pour l'arrivée.
Un bébé hurle, un autre lui répond.
Le pilote parle dans le micro mais vous ne comprenez rien.
Les hôtesses font leur démo de gilets jaunes mais personne ne regarde, la plupart sont plongés dans la liste des exquises choses à manger, proposées à un prix exorbitant que vous payerez bien sûr, par crainte de mourir de faim.
Si aucun enfant n'est malade, si le décollage se passe bien et s'il ne pleut pas à l'atterrissage, alors, profitez : Bonnes vacances !
Amanda- Humeur : positivement drôle
Re: Ah ! Les bonnes vacances ( 1)
Eh oui, bonnes vacances!
Moi qui déteste les aéroports, je trouve que tu décris à la perfection cet endroit tant redouté!
Avec toi je dis : vive le TGV qui nous emmène au soleil!
Moi qui déteste les aéroports, je trouve que tu décris à la perfection cet endroit tant redouté!
Avec toi je dis : vive le TGV qui nous emmène au soleil!
Zephyrine- Humeur : Parfois bizarre
Re: Ah ! Les bonnes vacances ( 1)
D'ici quelques jours je me trouverai dans cette situation
Brigou- Humeur : Généralement joyeuse et optimiste
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