A: Un roman en devenir

Consigne en deux parties:

1/ Ecrire la quatrième de couverture d'un roman que vous rêvez (ou pas) d'écrire

2/ Ecrire un article qui fait la critique de ce roman

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Le titre de votre texte doit être composé de la façon suivante :

• Lettre correspondant à la consigne (ici c’est la consigne A) suivi de votre titre.
Exemple : A. De retour
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Excellente semaine à tous

Chouette consigne !
De quoi titiller notre créativité !

Du coup peut être pour «  confessions intimes d’alainx  »

J'aime bien l'idée de passer du texte accrocheur au texte critique, même si je n'envisage pas du tout de m'atteler à un roman. Ou alors il fera trois pages. Jolie consigne, merci !

@ Myrte

Dans les éléments que tu donnes, il y a largement de la matière pour écrire un livre (moments volés, instantanés, émotions…)
comment faire ?
C'est pas très compliqué…
il suffit de commencer… ensuite ça vient tout seul.
Enfin moi c'est comme ça que j'ai publié trois bouquins !

Merci de donner vos avis sur la consigne, ça me fait très plaisir de vous voir échanger sur le thème

@ Alainx

Myrte a écrit:@ Alainx

J'ai publié deux recueils de textes écrits lors de participation à différents ateliers d'écriture pour en garder un souvenir mais écrire un roman d'un bout à l'autre jamais. Effectivement, il ne doit pas falloir attendre d'avoir une idée géniale mais, comme tu le dis Alainx, se mettre  au travail et laisser venir. C'est souvent ainsi que les idées de texte viennent d'ailleurs. Mais il faut quand même partir de quelque chose. Je continue d'y réfléchir...

Avec « le mystère des murs » tu as une idée à développer…
mais je ne sais pas s'il faut une idée géniale !
J'ai écrit quelques nouvelles, j'en ai publié certaines, la plupart du temps je suis parti « de rien », quelquefois une simple phrase banale.
Par exemple l'une d'elles commence par « Ce jour-là j'aurais mieux fait de rester chez moi. » Et j'ai continué ne sachant pas vraiment où j'allais…
je sais, c'est une forme de créativité. D'autres ont besoin d'une trame préalablement établie. J'ai essayé cette deuxième manière. J'avais inventé quelque chose… mais rapidement quand je me suis mis à écrire, je me suis ennuyé…
il n'y avait pas la découverte de l'imaginaire « œuvrant sous la plume »

Je vais ajouter mon grain de sel poivré ...

Il faut un peu quelque part avoir une idée de vers quoi aller, même vague ou au final complètement différente. C'est bien de commencer, c'est même une excellente idée, mais il faut aussi savoir comment finir et quand poser le mot "Fin".

Feuille,
Ta remarque est judicieuse, il faut en effet « savoir comment finir ».
La question est : à quel moment ce « savoir finir » apparaît.
Dans mon expérience personnelle où je pars sans savoir où je vais, c'est au fil de la progression qu'arrive un moment où surgit « la fin » qui alors s'impose.
Parfois mon projet se trouve en rade, alors j'attends. J'attends parfois plusieurs jours. Et puis tout à coup, souvent au réveil : « eurêka ! J'ai trouvé » !
Les mystères du fonctionnement de l'imaginaire…
Toutes mes nouvelles (publiées ou non) ont une fin clairement exprimée. Parfois « une chute ».
Merci, ton grain de sel poivré rehausse et pimente le débat.

Puis je intervenir dans vos échanges?

Il me semble que même dans les textes de consignes il en est ainsi (pour moi en tout cas) : Je sais toujours comment commencer le texte mais j'attends un bon moment avant d'imaginer la fin, très importante pour moi.

Savez vous que Joël Diker ( on aime ou on aime pas) agit ainsi aussi. En commençant son roman il connais déjà bien des détails, il veut un bon début, mais ne connait vraiment pas la fin....qui arrive parfois au tout dernier moment!