A. Un navet

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J’espère que les lecteurs ne me tiendront pas rigueur de ne mener qu’une critique superficielle de ce livre. La raison est simple, je n’ai pas lu ce nouveau roman.
La quatrième page de couverture me suffit pour repérer le contenu: violence inacceptable, éloge de la joie d’observer l’autre souffrir!
Un récit abominable, qui devrait, selon mon humble avis, être censuré.
L’auteur doit certainement être un cuistre sadique, qui ne mérite nullement d’être connu. Je doute qu’il ait le moindre respect des femmes.
À noter les nombreuses fautes grammaticales et d’orthographe, une honte à l'encontre de notre belle langue!
Il est d’autant plus curieux, voire regrettable, que les éditions Belles Lectures aient osé publier un tel navet, désolé pour ce jugement.
Je refuse, en mon âme et conscience, de rajouter la moindre réflexion sur cette horreur qui me glace, et je pèse mes mots.