B - L'Adolescente

Timide et réservée, son visage devient tout rouge quand on lui parle et surtout quand on lui pose des questions. Cécile pique alors un fard !
Ses pommettes roses virent au vermillon. Elle opte pour le petit truc qu'on lui a suggéré : se pincer le lobe des oreilles. Mais c'est trop tard, elle est déjà écarlate. Son cou également se couvre de plaques rouges. Sa voix tremble, ses mains aussi, elle transpire.
Elle voudrait fuir, disparaître. Pourquoi n'est-elle pas comme les autres adolescentes qui ont réponse à tout et qui sont toujours à l'aise dans n'importe quelle situation ?!


100 mots

Voilà bien les ados! Rougir quand il ne le faudrait vraiment pas....
Ça me rappelle des souvenirs où la veille d’une surprise party, un bouton rouge venait fleurir mon menton! J’en faisait un drame...personne ne voudrait danser avec moi.

Une adolescente qui doit vraiment souffrir de cette grande timidité , elle devrait demander l'aide d'un thérapeute pour améliorer son état .

Bien décrit ce phénomène propre à certains ados mais pas d'inquiétude, ça lui passera tres vite ! Si un petit jeune homme passait par là !

Lorsque  j'étais adolescente, moi aussi je rougissais très facilement. Et puis l'âge aidant, il est maintenant très rare que je rougisse, et c'est tant mieux !

Quand la peau s’exprime en rougissant quand on ne le souhaite.
Un malaise qui doit exciter depuis la nuit des temps notamment chez les ados.
Belle écriture Brigou, bravo

Ah, l'adolescence et ses affres colorées ! Heureusement que ça passe !
J'ignorais le truc de se pincer le lobe de l'oreille. Alors est-ce que c'est comme ça que ça finit par faire un trou pour les boucles d'oreilles ?

@Alain :

J'aime bien comment tu as retranscrit ce phénomène qui empoisonne la vie de tant d'adolescents et parfois cela dure au delà de l'adolescence... Et le passage d'un beau jeune homme comme le suggère Amanda, parfois ne fait qu'empirer la chose au grand désespoir de l'adolescente.

Excellente description d'un malaise plutôt gênant. Oui, cela passe, mais cela revient parfois au moment de la ménopause