A. Une nuit

Cette nuit ,un orage foudroyant m’éveilla en sueur .

J ’avais peur comme autrefois ,quand je n’étais alors qu’une enfant et que ces bruits effrayants semblaient m’envoyer dans des enfers dont j’ignorais l’entrée comme la sortie.

Je bouchais alors mes oreilles et me cachais sous les draps et couvertures .
Je tentais de retrouver mon réveil qui se trouvait sur ma table de nuit pour connaître l’heure mais celui-ci s’écroula sur le parquet de ma chambre .
Et quand voulant m’extraire de mon lit, je me cognai au pied de celui çi ,ce fut la goutte qui fit déborder mon vase de nuit. J’étais au comble de l’angoisse jusqu’à ce que mon père entre dans la chambre .

Voyant mon désarroi , il me proposa de faire avec lui une prière pour calmer ma peur en me disant que de toute façon et quoiqu’il arrive ,Dieu prendrait soin de moi ! C’est pas beau çà.

Cette nuit donc bien m’en a pris de me rappeler cette histoire de mon passé qui finit bien… alors qu’une minute plus tôt ( même la nuit)il ne se passait rien et que la vie coulait lente et paisible.

Ton texte m’à fait sourire.
Je suppose que tu as voulu raconter l’histoire à  la façon  d’un enfant.

J'ai moins aimé certains passages:
Il me semble qu’il y a quelques anomalies mais peut-être l’as tu fait exprès...
La phrase ” C’est pas beau çà ”  est assez bizarre.

L’excipit est un peu trafiqué, mais c’est pas grave!

Des événements comparables réveillent nos expériences d'enfants. Et la peur enfantine est très bien décrite.
Je trouve remarquable l'attitude du père qui ramène vers la confiance en soi-même et en celui qui protège (Dieu bien sûr, mais aussi la figure paternelle qui fait appel à Lui). C'est à mes yeux une attitude excellente. Et donc il me semble que le « c'est pas beau ça » est déphasé et totalement inutile parce qu'on y ressent un ton ironique qui ne correspond pas au récit et à sa force salvatrice.

Ton texte a éveillé en moi de vieilles peurs nocturnes enfantines. Je n'avais pas peur de l'orage mais de la nuit et d'être seule face à l'adversité. Je comprends l'intrusion de ce père dans ton histoire comme malvenue car tu ne sembles pas apprécier ce qu'il propose. Est- ce celà ?

Il y a une erreur de point d'exclamation dans mon texte. Celui çi "!" doit s'écrire après la phrase "c'est pas beau cà "

Mon père est le bienvenu dans ma terreur. C'est lui qui me protège.

Re correction à mon texte : c'est un point d'interrogation qu'il fallait que je mette après : c'est pas beau çà ?

On sent l'enfant rassuré par la présence du père protecteur une nuit d'orage qui peut être terrifiante parce qu'il y a la peur de la nuit ajoutée à celle du tonnerre et des éclairs .

J'adore la goutte d'eau qui fait déborder le vase de nuit !

Ton récit est attendrissant !
Mais je n'ai absolument rien compris à la fin en lien avec la consigne, je pense que tu t'es emmêlée les pinceaux tout comme avec tes rectifications de ponctuation