A. Dans 100 ans

Il y cent ans, une incroyable pandémie se déclarait sur la planète: le coronavirus.
La dernière fois qu’un tel fléau avait lieu, c’était 100 ans plutôt avec la grippe espagnole. Étant donné donc qu’une pandémie semble se déclarer tous les cent ans, les gouvernements des 5 continents se sont réunis ces jours afin d’éviter qu’une nouvelle maladie envahisse la terre.

Rappel historique des faits.
À la fin de 2019 ce virus se déclara en Chine (aujourd’hui à l’est de l'Asialand, avant la fusion avec la Russie). Encore aujourd’hui, il n’est pas clair de savoir ce qui a déclenché ce virus, les scientifiques et historiens se penchent encore sur le sujet.
En quelques mois la maladie se transmit, d’abord en Europaland qui était à l’époque constitué de pays indépendants, dont la France, la Belgique, la Suisse, le Royaume-Uni (Aujourd’hui Brexiland), puis traversa l’Atlantique pour envahir les deux Amériques, également constitués de nombreux pays indépendants.
Les régions fermèrent les frontières les uns après l’autre, les restaurants devinrent interdits, et il ne fallait pas être plus de 5 personnes à la fois dans l’espace publique. Les gens n’osaient plus se serrer la main, impliquant que les bises étaient prohibées. En plus les habitants de l’époque devaient couvrir la bouche et le nez avec un morceau de papier ou de tissu que l’on appelait masque. Ça parait aujourd’hui invraisemblable, pourtant ce fut la réalité.
Cet état de fait dura trois ans et fit 4 millions de morts parmi les milliards de personnes atteintes.
La grippe espagnole fit plus de 20 millions de morts. Cependant les conséquences économiques du coronavirus furent désastreuses, les monnaies dévaluaient jusqu’à ne plus avoir de valeur. C’est suite à cette terrible époque que tous les pays indépendants commencèrent à parler de fusion de culture.

Le résultat positif est que les banques furent abolies et que partout dans le monde à travers les 5 pays, nous pouvons circuler sans limite, que les guerres ont été abolies et nous mangeons à notre faim sans être obligé de payer chaque aliment en profitant des plaisir que la vie nous offre.

Espérons que les prochains siècles continuent sur cette voie.