A : Un chateau abandoné ( chapitre 2/ suite

Nous avons regagné le bourg par le sentier caillouteux poursuivis par les cris aigus de la pie qui entrait et sortait par les fenêtres béantes en tentant d'éviter les becs menaçants , tandis qu'un rapace planait plus haut, semblable à l'épervier de Maheux
.
Nous sommes entré dans le seul bar du village , pour prendre une boisson réconfortante et le maitre des lieux nous a conté qu'un chatelain cruel , Bertrand de la Bonne ,n'hésitait pas à affamer ses prisonniers , hors une nuit ,son fils ainé, lassé de les entendre gémir les libéra et, avec leur aide, enferma le propriétaire pendant toute une nuit.

Au petit matin , l'homme affamé et transis avait du promettre de ne plus jamais traiter  quiconque dans ces conditions . On n'a jamais su s'il avait respecté sa promesse mais les habitants du lieu , évitaient d'y monter en se recommandant les uns les autres du célèbre  " Attention aux courants d'air "

Magnifique!
Là,  on voit que tu sais jouer les Cruellas!
Tu as bien fait de nous conter cette histoire, j’imagine Bertrand , souffrant de faim et de soif. C’est très bien décrit!

Ton texte prend des allures de conte cruel que les enfants adorent. J'aime bien tes descriptions d'oiseaux bagarreurs.

Joli retournement de situation !

Autrement dit "Tel est pris qui croyait prendre" .
ça lui a fait les pieds  au Sieur Bertrand de La Bonne  un petit tour à l'ombre !!!

Bertrand de la Bonne n'a eu que ce qu'il méritait, non mais !